"Le panorama de presse : aspects juridiques"

Le panorama de presse : aspects juridiques, ouvrage rédigé par Michèle Battisti (chargée de veille juridique à l’ADBS) vient de sortir sous la collection « L’essentiel ».

Sommaire

Introduction : Panorama de presse et droit

  • Chapitre 1 : Revue de presse et panorama de presse
  • Chapitre 2 : Le droit de reproduction
  • Chapitre 3 : Le droit de reprographie
  • Chapitre 4 : Article de presse, droit des journalistes et des entreprises de presse
  • Chapitre 5 : Le panorama de presse sur support papier
  • Chapitre 6 : Le panorama de presse électronique
  • Chapitre 7 : Les acteurs

Résumé :

« Les entreprises et les administrations ont éprouvé depuis bien longtemps le besoin de disposer de panoramas de presse qui reprennent les informations d’actualité relatives à leur secteur d’activité et à leur environnement. S’il est probable que les évolutions techniques fassent encore évoluer dans l’avenir la forme de ce produit documentaire, l’accès à l’information de presse restera un besoin fort des organisations et donc une prestation importante assurée par les services d’information. On se souvient que les aspects juridiques de la revue de presse avaient donné lieu à de vifs débats avant l’adoption en 1995 de la loi relative à la gestion collective du droit de reproduction par reprographie, et la polémique a perduré au cours des années qui ont suivi. Au moment de l’adoption en France de la loi sur les droits d’auteur et les droits voisins dans la société de l’information, il est plus que jamais nécessaire de faire le point sur cette question : car, même rebaptisée panorama de presse, la revue de presse suscite encore de nombreuses interrogations, en particulier dans l’environnement électronique. »

Je vais quand même attendre la fin de la période estivale avant de le lire…histoire de se « déconnecter » un peu 🙂

SEDIC blog

Le SEDIC (Association Espagnole de Documentation et d’Information Scientifique) a crée son blog depuis plus de deux mois. L’association compte actuellement plus de 1200 personnes travaillant dans les administrations, les bibliothèques, les centres de documentation des entreprises, les organismes et institutions de toutes disciplines.

Le SEDIC rejoint ainsi l’ADBS dans la création d’un blog d’échanges pour les professionnels de l’information (bibliothécaires, documentalistes et archivistes).

Mastère DEFI (Gestion des Documents Electroniques et des Flux d’Informations)

Un peu de pub ne fait pas de mal, surtout lorsque nous parlons de choses que nous connaissons bien 🙂

Ainsi, j’ai été agréablement surprise de voir tout un encart sur mon ancienne formation du mastère Défi de l’université Paris X-Nanterre dans le numéro Mars/Avril d’Archimag. L’article insiste sur la complémentarité de la formation. Celle-ci est destinée à deux profils, les documentalistes et ceux venant du traitement automatique de la langue. Les personnes ayant un passé pur en documentation se spécialisent en TAL et travaillent sur des outils de développement de bases de données.

Les « talistes » qui savent programmer pour la plupart apprennent les méthodologies de traitement de l’information. Ainsi, nous nous entraidons et échangeons notre savoir, ce qui apporte une réelle valeur ajoutée.

Dans mon cas il était plus pertinent d’avoir une formation plus spécialisée que de faire un DESS en documentation pure où les cours auraient été redondants de ceux suivis à l’IUT ou maîtrise, mais également plus théoriques. Les cours du Mastère DEFI sont à 90% pratiques. Benoît Habert, professeur de sémantique et directeur du mastère

A l’issue du cursus, les élèves sont en mesure de mettre en place un système d’information et de travailler sur une gestion de projet axée sur l’évaluation, les tests et le conseil pour des solutions de GED ou de logiciels de recherche documentaire, tout en gardant un double profil technique et documentaire. Cette complémentarité est essentielle et comme l’ajoute Bernoît Habert, professeur de sémantique et directeur du mastère DEFI « les formations en documentation seules ou les formations en informatique seules ne sont pas suffisantes aujourd’hui pour travailler en info-doc ». Les besoins évoluent tellement que cela devient un devoir pour le professionnel de l’information de se spécialiser…

Description plus complète du Mastère DEFI

Enquête ADBS sur les professionnels de l’info-doc

Le 10 mars, l’ADBS a mis en ligne les résultats de son enquête sur les professionnels de l’Information-Documentation. 3339 questionnaires ont été recueillis par voie électronique sur le site de l’ADBS du 1er juin au 31 août 2005.

Les répondants sont en majorité les femmes avec un taux de 84% contre 14% pour les hommes. 39% des répondants sont situés dans la tranche des 25-34 ans.

Concernant la situation professionnelle, nous voyons que 36% des répondants ont trouvé leur travail par le biais des offres d’emploi. A noter le chiffre de 16% qui ont trouvé par le biais des relations ou de 11% via une candidature spontanée.

Les secteurs public et parapublic sont plus représentés que le privé : 53% contre 43%. Les moins de 35 ans sont plus présents dans le privé et à contrario les plus de 35 ans évoluent sensiblement dans le public.

Point qui fait plaisir : le lieu de travail est majoritaire en régions (56% des sondés) par rapport à l’Ile de France (44%). Les régions les plus représentées dans le secteur sont dans l’ordre la région Rhône Alpes (10%) suivie de la région PACA (5%).

L’enquête au complet sur le site de l’ADBS.